samedi 3 novembre 2007

heu...


ou pas...

non mais en fait c'était une journée dans un parc d'attraction. Sensations fortes assurées... woila.

Chez nous...




... Oliv et Dozer sont choyés, protégés, aimés, soignés, chouchoutés... bref, heureux!

jeudi 1 novembre 2007

il s'enfuit

La rue s'étandait devant lui, pourtant il continuait à la parcourir en espérant arriver au bout un jour. L'obscurité l'empéchait de voir précisément où il mettait les pieds. Il devinait son chemin à mesure qu'il se dévoilait à ses pas.
La brume d'avant l'aube enbuait ses yeux. De temps à autres, la lumière d'un réverbère rappelait que ce quartier est habituellement plein de vie et d'histoires.
Il trainait là depuis un moment, porté par la mélancolie du noctambule, le silence paisible alourdissait son rythme.
Pourtant, au loin, en bas de ces escaliers, quelque chose détonait...curieux il s'avançait vers ce fol espoir de nouveauté.
Sans se décourager il s'approcha de ce batiment. Il y avait de la lumière, de la chaleur et le son de voix qui s'en échappaient. Intrigué il alla jusque dans l'immeuble. L'odeur de thé encore chaud le mena jusqu'au premier étage...Trois portes devant lui...
Un rire lui permis de deviner quelle porte à laquelle frapper.
Quelle suprise quand il entrait dans ce couloir. Toute cette lumière, cette vie et cette énergie.
Son étonnement fut tel qu'il en oublia sa propre existance, il se laissait aller comme au zénith du soleil, quand les hommes s'affairent à leurs activités, il se prenait au jeu et accompagnait dans son fol enthousiasme tout l'appartement.
Un peu plus tard, le temps décida qu'il en avait assez, il quitta l'appartement, et tout redevint calme.

La lumière s'est éteinte, le silence se fit pesant.
Pourtant, à quelques différents endroits dans le quartier, quelques lumières commencaient à s'allumer, quelques odeurs commencaient à s'élever dans l'air. La vie reprenait son cours normal. Au plus grand soulagement du temps.

[ oui chez nous, le temps est relatif, et il passe super vite...]